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Orijinalini görmek için týklayýnýz : Un week-end idyllique Fin


admin
02 Nisan 2023, 00:01
Ils arrivèrent tous les quatre à la brocante et furent cordialement accueillies par Martin qui était avec Karim près d'un camion débâché datant du passage de l'armée US.
- Montez donc dans mon vieux monstre, on va à deux kilomètres à peine, mais vu qu'il fait beau!
Lorsque tous eurent grimpés à l'arrière de l'engin, Martin qui était resté avec ses hôtes à l'arrière, frappa sur la tôle et Karim démarra l'engin qui pétarada.
Le trajet jusqu'à la ferme d'Alphonse prit une dizaine de minutes sur une mauvaise piste aux ornières creusées par de nombreux passages de tracteur.
La ferme apparut au détour d'un bosquet, une bâtisse assez sale avec une écurie attenante et un hangar en face. Karim gara le camion et tous descendirent tandis qu'Alphonse sortait de la ferme pour les accueillir.
- Les autres saucissonnent, vous voulez manger et boire un coup, dit-il jovial?
- Non, non, firent d'une même voix résignée Serge et Vincent.
- Laisse les bouffer, reprit Martin, mais montre-nous plutôt ton écurie.
- Venez donc, venez donc dit Alphonse. Et tandis que Martin prenait les deux femmes par la taille, ils entrèrent dans l'écurie. Dans une stalle immédiatement à droite il y avait un assez joli poney à la robe tachetée.
- C'est Roby, dit fièrement Alphonse, il est doux comme un agneau et monté comme un éléphant, regardez donc. Alphonse entra dans la stalle et fit sortir Robbie qu'il attacha solidement avec son licol à un poteau.
- Penchez--vous pour mieux voir, penchez vous
Martin poussa les deux femmes doucement devant lui et Alphonse prenant la main de Céline qui essaya mais en vain, de la retirer, il la guida vers le pénis de la bête.
- Allez, caresse le, caresse le, encouragea Alphonse, il aime ça le petit fumier et il a l'habitude!
Dans la main de Céline le pénis gonflait, gonflait. Le poney répondait au quart de tour et bientôt, l'énorme pénis de l'animal se balança doucement sous lui
- Je le connais pourtant, mais à chaque fois cela me la coupe, fit Martin! Il est vraiment bien gaulé, je tiens pas l'affiche dit-il en rigolant. Ça fait quoi, 35, 40 cm?
- Et des brouettes répondit Alphonse fièrement. Et puis il est épais le bougre, de quoi remplir vos bouches mes petites tourterelles, ajouta-t-il sous le regard horrifié de Céline qui avait fini par échapper à la pogne d'Alphonse et se cachait derrière Marie Hélène. Celle-ci regardait avec fascination l'engin du quadrupède. Cela n'échappa pas à Martin qui passa sa main sur sa croupe en se léchant les lèvres ;
- Toi, lui dit-il à l'oreille, t'as pas peur des gros calibres, t'aime ça je dirais même...
Marie Hélène s'empara du pénis du poney et se mit à le masser en ne le quittant pas des yeux. La stimulation semblait faire de l'effet à l'animal. Son énorme engin oscillait comme un métronome.
Elle prit Céline par la main et l'attira près de l'animal en lui disant
- N'aie pas peur, il a l'air gentil comme tout. Regarde moi
Marie Hélène ouvrit grand la bouche puis, commença à lécher le sexe de l'animal sous le regard fasciné de Céline. Ce faisant, elle lâcha la main de Céline et déboutonna rapidement les boutons du bas de sa robe. Puis elle reprit sa main et la guida vers sa chatte.
- Regarde, lui dit-elle, je suis trempée
Céline eut un petit cri de surprise mais s'approcha de Marie Hélène et tout en gardant les yeux rivés sur la verge démesurée face aux lèvres pulpeuses de sa copine, lui massa doucement le clitoris.
Derrière elles, Martin, Karim et Alphonse contemplaient le spectacle avec fascination. Un peu en retrait, Serge et Vincent avaient laissé passer devant eux le reste de la bande qui étaient entrés silencieusement dans l'écurie.
Indifférente à leur présence, Marie Hélène branlait et suçait doucement l'animal tout en écartant les cuisses pour faciliter les caresses de Céline.
- Tu as pas envie d'essayer demanda Marie Hélène, c'est doux tu sais.
Céline s'accroupit et sa jupe de cuir remonta, laissant apparaître une culotte Rosy à fleurs qui mettait en valeur sa superbe croupe.
Approchant timidement sa bouche, elle se mit à lécher le vit du poney et sa langue vint se superposer un instant à celle de Marie Hélène. Les jeunes femmes échangèrent un sourire complice.
- Je vais me mettre à l'aise dit Marie Hélène, pas toi?
Joignant le geste à la parole, elle déboutonna sa robe qui tomba sur la paille. Il ne lui restait plus qu'un string rouge vif et un soutien gorge assorti mais transparent.
Céline après un instant d'hésitation envoya Escort Bahçeþehir (https://www.bahcesehir21.com/) valser sa jupe de cuir et son cashmere il ne lui restait plus que ses bottes et son petit ensemble Rosy :le spectacle laissait les hommes bouches ouvertes, mais les uns après les autres avaient ouverts leurs braguettes et commençaient à s'astiquer.
- T'as pas envie d'essayer? demanda doucement Marie Hélène à Céline tout en lui palpant les seins
- T' es folle, c'est trop gros, répondit-celle-ci le regard brillant.
- Essaye, te dis-je, je tiendrais Roby,
- Bon, mais juste un peu, mais comment faire, il va me faire mal!
Martin avait approché une sorte de table brancard assez basse sur laquelle était posée un manteau de très gros cuir muni d'un capuchon.
-Faut mettre ça et y aura pas de problème. Tu laisses juste ton cul à l'air.
Céline retira sa jolie culotte, enfila le vêtement et se coucha sur le brancard que Martin fit doucement rouler juste devant le poney. Le cul de Céline était devant la tête du poney que Marie Hélène continuait de branler gentiment.
- T'inquiète pas, chuchota-telle je l'enlève si je vois que ca va pas.
Après avoir hésité quelques minutes, Roby tout d'un coup se mit à hennir. Martin et Alphonse l'aidèrent à mettre ses sabots avant sur la table. L'énorme biroute était proche du con de Céline. Marie Hélène s'en saisit et l'amena à l'entrée. Le poney, très excité bavait sur le manteau de cuir.
Céline poussa un grand cri lorsqu'elle sentit le poids de l'animal par dessus le cuir. Quelques secondes plus tard, le sexe entra d'une bonne dizaine de centimètres d'un coup dans son vagin.
- Ah, non, non, non, c'est trop gros, il me déchire, au secours, au secours!
L'animal pistonnait Céline de façon désordonnée et Marie Hélène avait du mal à conserver la bite devant son objectif. Elle regardait avec fascination le vagin distendu par le sexe de Roby qui avait pris son rythme
Céline qui avait moins peur commença de gémir. Elle psalmodiait sans relâche
- Ah, c'est trop bon , c'est trop bon, j'ai jamais ressenti ça, encore, encore, encore, encore!
Dans son coin Vincent regardait le spectacle hallucinant de sa femme sous son manteau de cuir montée par un poney. Le regard fou, il se branlait furieusement.
Au bout d'une minute de ce régime, Céline poussa un cri strident de jouissance si puissant que Marie Hélène eut peur et retira le sexe du poney au moment ou ce dernier déchargeait son sperme comme une lance à incendie sur un brasier. Les trainées de foutre chevalin vinrent éclabousser le cul de Céline et les mains de Marie Hélène. Rapidement, Martin et Alphonse dégagèrent l'animal et Marie Hélène releva Céline un peu groggy. Les deux femmes s'embrassèrent à pleine bouche et se collèrent mamelles contre mamelles. On voyait leurs mains s'activer furieusement dans les chattes l'une de l'autre. Les hommes autour d'elles se branlaient frénétiquement et bientôt des giclées de sperme vinrent se répandre sur leur corps.
Martin, qui n'avait pas encore joui, se massait furieusement le gland puis, presque timidement, il proposa :
- Bon, un petit coup de jet d'eau dans la cour et on va casser une graine et boire un coup ; ces émotions ça creusent.
Les deux filles enlacées suivies de leur cortège de mecs en rut se dirigèrent vers la cour, Marie Hélène se saisit du jet d'eau et arrosa en riant Céline qui poussa de petits cris. À son tour Céline, tout en approchant le tuyau d'une manière obscène du cul de sa copine, entreprit de la laver.
Au milieu de la cour, les deux femmes étaient nimbées de soleil comme les déesses d'un culte dionysiaque. Obscènes et joyeuses, comme jamais Serge et Vincent ne les avaient vues.
Martin avait apporté des serviettes et avec l'aide d'Alphonse les sécha rapidement. Céline ne remit que ses bottes et Marie Hélène ses escarpins
- A vous l'honneur les filles, leur dit Martin avec un geste large vers deux grands fauteuils de part et d'autre d'une grand table sur laquelle étaient posés deux assiettes de charcutailles, du fromage et des pichets de vin rouge. Les hommes s'installèrent bruyamment sur les bancs. Serge et Vincent voulurent s'asseoir à leur tour, mais Martin les interrompit :
- Po, po, po, pas si vite. Zallez me mettre une tenue dit-il en indiquant, suspendus à une patère des tabliers de soubrette droit issus d'un sex shop. Et zallez faire le service. Tandis que les deux hommes penauds se changeaient, Youssef sortit sa tête de la cuisine
- Patron, dit-il à Martin, j'ai Bahçeþehir Escort Bayan (https://www.bahcesehir21.com/) des merguez et des chipos pour ceux qui veulent.
Marie Hélène avait très faim. Elle se servit et ses gros seins oscillaient au rythme de ses bouchées tout comme ceux de Céline qui, encore excitée par ce qui venait de se passer, avait posé ses bottes sur la table et cuisses écartées, buvait un verre de vin en la regardant avec concupiscence.
De temps en temps l'un des convives se levait et empoignant les mamelles de l'une ou de l'autre et frottait lascivement son sexe contre leur cou ou leur dos avant d'aller se rasseoir
Serge et Vincent à poil sous leurs tabliers de soubrette, servaient les uns et les autres, se prenant parfois de formidables claques sur le cul. À chaque fois que le pauvre Serge partait en cuisine, Youssef en profitait pour lui tirer la queue ou lui pincer les seins d'un air coquin et lui promettait :
- T'y va avoir mon très gros bâton dans le cul, dès que le repas il est fini, je te promets
Au bout d'une demi heure, Martin se leva et l'assistance se mit à scander :
Un discours, un discours!
- Je serais bref, jura Martin, sous les rires, mes amis, un grand bravo pour nos deux invitées, parce que je pense qu'on peut dire qu'elles ont de l'appétit. Je m'y connais en salopes, et celles-là, sont sur le podium. Et leurs petits maris dans la cuisine, ils sont bien gentils! Mais je vous rappelle bande de ruffians qu'on est dans un pays qui a une tradition d'accueil, faudrait pas oublier que tout près d'ici y a des basanés - pardon Karim je dis pas ça pour toi -- enfin bref, on sait pas trop si c'est des roms ou des lybiens, qui ont pas souvent l'occasion de flairer de la femme blanche. Alors, je vous le demande, est-ce qu'on devrait pas faire quelque chose?
- Oui, oui, tonitrua l'assistance
Interloquées Marie Hélène et Céline se regardèrent
- Alors les gars, reposez-vous un peu, je vais avec Karim les accompagner à leur campement et après je vous les ramène. Les filles, un dernier effort, c'est pour la France!
Karim et lui les entrainèrent vers un break blanc dans lequel Martin leur indiqua deux impers.
- Mettez ça les filles, faut être décentes en bagnole tout de même, on sait jamais qui on peut rencontrer.
20 minutes plus tard, par un chemin de gravillons bordés de ronces, la voiture s'arrêtait à l'entrée d'un terrain vague comprenant quelques caravanes pourries et un hangar.
Marie Hélène et Céline se regardèrent inquiètes
- Mais qu'est ce que c'est?
- Calmos, fit Martin, tout le monde descend. Je les connais, j'ai fait du business avec eux. Les deux hommes tenant par la taille les deux femmes s'avancèrent jusqu'à l'entrée du hangar ou un petit groupe les regardaient venir avec méfiance
Il y avait là une dizaine de mecs plutôt noirauds courts sur patte et assez gros
L'un d'entre eux apostropha Martin,
- Salut mon ami, j'ai récolté deux trois trucs pour toi, t'y veux voir?
- Un peu que je veux voir, allez montre
- Tu viens avec moi et tes zamis aussi, dit l'homme en allant dans le hangar.
Dans un coin, sur un vieux matelas défoncé, l'homme souleva une couverture de l'armée qui dissimulait deux statues de pierre assez jolies et quelques bibelots en argent.
- Pas mal dit Martin après les avoir examinés, mais j'espère que t'as pas volé ça dans le coin!
- T'y sais bien que j'y fais gaffe et mes hommes aussi. Jamais dans le département
- Bon, fit Martin, t'en veux combien?
- Ben, fit l'homme en matant ouvertement les deux femmes qui tenaient leurs imperméables bien fermés, je veux bien autre chose que tes euros..
- Tu veux dire, dit Martin en faisant un signe à Karim de faire la même chose, que tu préfèrerais ça?
Et d'un geste brusque, il ouvrit l'imperméable de Céline découvrant ses deux beaux globes
Karim lui, avait carrément arraché l'imper à Marie Hélène qui surprise, n'eut même pas le temps de se rendre compte de ce qui se passait.
La bouche entrouverte et yeux mi-clos l'homme les regarda de haut en bas puis il fit un hochement de tête. Tout en gardant ses yeux rivés sur les nibards de Céline, il enleva son pantalon et baissa son slip. Une grosse bite circoncise et déjà tendue en jaillit. Sous le regard apeuré des deux femmes, les autres hommes enlevèrent à leur tour leurs futals et leurs slips laissant à leur tour surgir leurs virilités. Pendant un instant, il ne se passa rien puis les hommes s'avancèrent, écartant Karim et Martin sans Bahçeþehir Escort (https://www.bahcesehir21.com/) mot dire et leurs mains crochetèrent les femmes qui furent trainées comme de la bidoche vers deux matelas pouilleux.
Céline fut immédiatement mise en position de levrette et tandis que le chef introduisait sa pine dans le cul en lui tenant méchamment les hanches, un autre qui s'était placé devant elle bourrait le fond de sa gorge en lui tirant les cheveux.
À quelques mètres, deux hommes avaient empoignés Marie Hélène par les seins comme s'ils voulaient en en faire jaillir du lait et un troisième lui attachait les mains à une corde pendant d'une poulie accrochée au plafond. Deux autres s'approchèrent en se marrant et passant prestement des cordelettes autour de ses chevilles, écartèrent ses cuisses au maximum. Lorsqu'elle fut ainsi apprêtée et ligotée l'un d'entre eux, un petit gros édenté, se mit à lui tirer les tétons.
Elle poussa un glapissement. Le petit gros se mit à rire et adressa quelques mots rapides et incompréhensibles à ses compagnons. Il donna quelques baffes supplémentaires mais pas trop méchantes aux mamelles de Marie Hélène les faisant osciller comme deux beaux ballons de foire.
Il s'éloigna ensuite d'un pas pour observer sa proie et baissant d'un geste son pantalon de survêtement délavé sortit un mandrin de bonne taille qu'il commença de masser doucement. Pendant ce temps, deux de ses acolytes, s'était placés l'un devant l'autre derrière. Le premier s'empara de la bouche de Marie Hélène et lui serrant la mâchoire de la main gauche, entreprit d'enfoncer sa langue dans sa gorge. De la main droite, il s'employait à sortir une bite brune et encore mollassonne qu'il frotta contre son ventre. Le deuxième s'activait derrière Marie Hélène. Il avait écarté ses fesses au maximum et poussait sa verge tendue sur l'anus de Marie Hélène qui essayait mais sans succès d'échapper à son tortionnaire. Un instant plus tard, elle se mit à couiner lorsqu'il fut parvenu à introduire une dizaine de centimètres dans son anus. À ce moment là, le premier ,dont la verge avait pris de la consistance, s'introduisit dans sa chatte. La conjonction des deux bites qui la pilonnaient était tellement extraordinaire qu'elle se mit à jouir immédiatement.
Pendant ce temps, le chef avait lâché son jus dans la chatte de Céline en poussant un grognement de satisfaction. À peine se fut-il retiré qu'un gros mastard, chauve et obèse s'approcha de Céline pour l'arracher aux autres. En se marrant doucement il enleva son pantalon et son sweet laissant apparaître sous son énorme bedaine une trompe d'éléphant se terminant par un gros gland d'un rouge presque cramoisi. Il se mit à quatre pattes et fit un signe impératif à Céline en lui montrant son dos. Céline interloquée ne bougea pas mais le chef qui observait le spectacle en essuyant sa bite gluante, attrapa une badine et lui envoya quelques coups appuyés. La pauvre se mit à glapir et s'empressa de s'installer maladroitement sur le dos du monstre lequel en sentant le vagin frotter son dos se mit à hennir comme un cheval et à bouger de haut en bas tandis que Céline manquait de tomber de sa monture ; après avoir parcouru la moitié de la salle en mimant un galop, le monstre s'ébroua et fit tomber sa cavalière. Puis, sans perdre un instant il l'écrasa de son poids en lui remontant les cuisses en équerre et la pénétra avec un grand soupir qui coïncida avec le cri déchirant que poussa Céline lorsque l'énorme chose la pénétra. À chaque fois qu'il retombait sur elle et l'écrasait de son gros ventre, elle avait le souffle coupé. Au bout de quelques minutes, le gros accéléra le mouvement et Céline était au bord de l'étouffement. Tout-à-coup, il poussa un grand beuglement et lâcha une première giclée de foutre qu'elle sentit inonder sa chatte, puis il se leva prestement et triomphalement envoya une deuxième giclée puis une troisième qui inonda le visage les épaules et les seins de Céline qui se mit à jouir comme jamais. Quelques instants plus tard elle était étendue en croix sur la table et se faisait pilonner le cul ; tandis que quelqu'un essayait de lui mettre une pine puante dans la bouche,
Pendant ce temps, Marie Hélène se faisait fesser la croupe et bientôt elle se remit à jouir à son tour.
Allez, dit Martin satisfait de voir que ses clients avaient l'air contents, on s'en va les filles, mais on reviendra quand vous voudrez!
Dans le camion, les deux femmes se pelotonnèrent silencieusement l'une contre l'autre.
Pouah les filles vous puez la bite, va falloir vous laver en rentrant à l'hôtel et bien vous savonner parce que franchement, ça fait mauvais genre. Lorsque le camion se gara dans la cour les deux maris les attendaient penauds et inquiets.
- Allez faites pas cette tête là, elles ont bien jouies vos salopes. Et vous encore plus je crois.
J'espère que vous avez passé un bon week end, et que vous reviendrez!